Citations Enerdata
En vue des risques de coupures d’approvisionnement en gaz et électricité cet hiver, Antoine de Ravignan a interviewé Morgan Crénès, notre responsable des analyses de marchés énergétiques, pour comprendre comment nous sommes arrivés à cette situation, notamment en détaillant les rouages de l’impact des bouleversements d’imports en gaz sur les coûts de l’énergie, ainsi que les tensions induites par l’état du parc nucléaire français.
Extrait de l’analyse : Plus que l’hiver, c’est le coup d’après qui préoccupe Morgan Crénès, coordinateur de l’analyse des marchés énergétiques chez Enerdata : « Comment s’assurer que sur le moyen terme, le GNL pourra compenser la perte d’approvisionnement russe à des coûts raisonnables ? » Surtout si le repli actuel de l’économie mondiale était suivi d’une reprise forte, donc d’une demande gazière accrue.
Coupure du gaz russe : ça va faire mal ?
À la suite de la décision de la Russie de réduire l’approvisionnement en gaz des pays de l’UE, Antoine de Ravignan a interviewé Morgan Crénès, notre responsable des analyses de marchés énergétiques, pour comprendre les mécanismes à mettre en route pour passer l’hiver dans ce nouveau contexte énergétique, et notamment, sur les taux de remplissage des stocks que l’Europe pourra atteindre.
Pour faire le point sur les fournisseurs de la France en gaz et en pétrole, dans le contexte de crise énergétique renforcée par la situation en Ukraine, Luc Chagnon a interrogé Morgan Crenes, notre responsable Recherche et Innovation.
Pour illustrer sa publication concernant les facteurs de réussite de la transition énergétique, le Conseil économique, social et environnemental de Bourgogne-Franche-Comté a démontré les enjeux de production énergétiques en se basant sur les données 2020 de production d’électricité et d’énergie en France, fournies par les services d’information d’Enerdata.
Pascal Charriau, président d’Enerdata, a rédigé une chronique sur le contexte actuel de la crise en Ukraine pour Présences, le magazine des entreprises du Sud-Isère.
Laura Sudries, chef de projets, et Bruno Lapillonne, expert en efficacité énergétique et demande, ont co-écrit un article avec Ariane Bousquet (Chaire Énergie et Prospérité, Renault) et Aurélien Bigo (Chaire Énergie et Prospérité) sur les tendances d’émissions de CO2 dans l’Union Européenne.
Peut-on se passer du gaz russe ?
Afin de comprendre l’impact possible d’un embargo européen sur l’importation d’hydrocarbures russes, Antoine de Ravignan a interviewé notre responsable des analyses de marchés énergétiques, Morgan Crénès, pour analyser le degré de dépendance de l’Europe à ces hydrocarbures. Il a notamment illustré ses propos par un graphique indiquant la part d’importations de gaz russe pour chaque pays européens.
Présences, le magazine des entreprises du Sud-Isère, a interviewé Pascal Charriau, président d’Enerdata, suite à la COP26 pour qu’il partage sa vision des enjeux énergétiques et climatiques et de leurs impacts pour les entreprises.
Dans son dernier rapport « L’analyse des coûts du système de production électrique en France », La Cour des comptes s’est appuyée sur l’étude réalisée par la Commission Européenne « Étude sur les prix et les coûts de l'énergie et leur impact sur l'industrie et les ménages », pour laquelle Enerdata a tenu un rôle clé de collecte et d’analyse de données, pour faire des comparaisons internationales des coûts moyens de production de l’électricité.
La société grenobloise Enerdata, spécialisée dans l’analyse et la prévision des enjeux énergétiques et climatiques, vient de racheter Infinergia, société de conseil spécialisée dans les marchés de l’énergie durable.
D’abord le pétrole, puis le gaz naturel et l’électricité… La hausse du prix des énergies est au premier rang de l’attention médiatique. Dans cet article, Patrick Criqui, Conseiller Scientifique pour Enerdata, et Carine Sébi, Professeure associée à Grenoble Ecole de Management, se sont basés sur les données de prix d’électricité fournies par Enerdata pour construire leur article.
Pour fêter ses 30 ans, Enerdata, cette entreprise d’information et de conseil dans le secteur de l’énergie, a choisi de passer deux jours la semaine dernière dans la vallée des Entremonts pour son séminaire.
Succinctement, elle compte comme clients les grands groupes pétroliers et gaziers, les compagnies d’électricité, les équipementiers, les industries,...
CO2, retour à l’anormal
Après la chute des émissions mondiales de CO2 pour cause de pandémie, les défenseurs du climat craignaient un important effet rebond avec le redémarrage de l’économie. C’est ce qui s’annonce.
Selon le dernier bilan énergétique mondial publié par l’institut Enerdata, les émissions de CO2 liées à la consommation d’énergie grimperaient de 4,4 % en 2021 dans les pays du G20, les plus riches et les plus peuplés, comptant pour 80 % des émissions mondiales.
L’an dernier, elles s’étaient effondrées de 5,2 %. Elles atteindraient ainsi un niveau à peine inférieur à l’année 2019, à la veille de la crise (- 1 %), et supérieur à la moyenne des années 2010-2019 (+ 1 %).
Enerdata anticipe un rebond mondial en 2021
Après une année 2020 impactée par la crise sanitaire, l’année 2021 devrait être celle du rebond aussi bien économique qu’en termes de consommation énergétique et malheureusement d’émissions de CO2, estime le bureau d’études Enerdata dans son bilan énergétique 2020 publié le 1er juin. Les pays du G20 qui représentent 80% des émissions de gaz à effet de serre mondiales ont enregistré une baisse de 5,2% des émissions de GES en 2020 mais avec la reprise économique notamment, la hausse devrait être importante, de 4,4%, tout en restant inférieur de 0,9% au niveau de 2019. Côté consommation en revanche, la baisse de 3,5% en 2020 sera complètement oubliée en 2021 avec une hausse attendue de 4,1% soit 0,2% de plus qu’en 2019.
Les systèmes énergétiques d’après-crise "encore loin" d’un scénario 2°C
Dans son dernier bilan annuel mondial, présenté le 1er juin, Enerdata rend compte de l'impact de la pandémie sur les systèmes énergétiques relevant notamment une consommation énergétique (-3,5 %) et des émissions de CO2 (-5,2 %) en forte baisse en 2020. Le cabinet s'attend à plusieurs "rebonds" en 2021, traduisant l’impact "conjoncturel" de la crise. Malgré certains changements notables, comme la hausse de la consommation d’électricité ou des capacités installées de renouvelable, aucune "rupture forte" à même d’atteindre la neutralité carbone en 2050 n’est néanmoins observée.
Coronavirus - Emissions de CO2 : après la chute, la rechute ?
Dans son dernier bilan énergétique, le cabinet de conseil Enerdata estime à -8,5 % la baisse des émissions mondiales de CO2 en 2020. Bon pour le climat, l’effet Covid sera-til autre chose qu’une brève parenthèse? […] « Les émissions de CO ont davantage baissé que la consommation d’énergie », fait par ailleurs observer Bruno Lapillonne, l’un des auteurs de l’étude et cofondateur d’Enerdata. Au niveau mondial, l’écart est d’un point de pourcentage, et il est particulièrement spectaculaire en Allemagne. D’où vient cet écart ? « Il s’explique par la progression de la part des énergies décarbonées dans le mix électrique », poursuit l’expert.
Voir l’infographie qui accompagne l’article.
Enerdata table sur une baisse de 9,2 % de la demande en 2020
La baisse de la consommation finale d’énergie en France due à la crise sanitaire du coronavirus pourrait atteindre 9,2 % en 2020, selon une note publiée par Enerdata mardi 28 avril. Le cabinet d’analyse a établi quatre scénarios dont celui qu’il estime le plus probable et qui table sur un confinement de deux mois et une reprise économique lente. Le recul du PIB s’établirait à - 8 %. « Dans le cas d’un confinement de trois mois, les e ffets seraient multipliés et dans le scénario le plus pessimiste, la consomma tion d’énergie finale en France chuterait de 11,5 %, un recul inédit depuis 50 ans », écrit Enerdata. La baisse des émissions de CO2 atteindrait 9,9 % dans le scénario le plus probable et pourrait aller jusqu’à 12,6 % dans le plus pessimiste.
Covid-19 : les prévisions mondiales d’Enerdata
La consommation mondiale d’énergie devrait reculer de 7,5 % cette année, ce qui entraînera une baisse des émissions de CO2 du secteur de l’énergie de 8,5 %, selon des estimations présentées mardi 2 juin par Enerdata. Ces chiffres découlent d’un repli de la croissance mondiale prévu à 3 %. « Les deux secteurs les plus impactés par la baisse de la demande d’énergie sont l’industrie et les transports », précise le cofondateur du bureau d’études Bruno Lapillonne.
Energie : après la crise, repli sur les territoires ou new green deal global ?
A quoi peut-on s’attendre sur le front de l'énergie après une année 2019 classique suivie de bouleversements majeurs en 2020 ? Les scénarios d'Enerdata varient selon le degré de démondialisation, le choix du statu quo, ou de la transition écologique.
2020, une année énergétique hors normes
Malgré une baisse de la pollution carbonée, l’année en cours n’est pas forcément représentative du « monde d’après », indique le consultant spécialisé Enerdata. [...] En France, estime Enerdata, […] l’économie d’émissions carbonées pourrait atteindre 13% entre 2019 et 2020: du jamais vu ! Un gain facilement effaçable. Et que l’on risque de ne pas revoir de sitôt. «Un rebond des consommations et des émissions est inévitable au cours des prochaines années», confirme Pascal Charriau. Reste à savoir quelle sera son ampleur. […] Faute de prospective, Enerdata a fait plancher l’économiste de l’énergie Patrick Criqui. S’appuyant sur les fondamentaux de l’économie et du système énergétique, le directeur de recherche émérite du laboratoire d’économie appliquée de l’université de Grenoble (Gael) propose 4 scénarios pour le monde de 2025.
Depuis le milieu de l’année 2014, le prix du pétrole est à la baisse, les surcapacités de production s’étendent, et les analystes ne semblent pas encore entrevoir de fléchissement de la tendance.
L’Asie après la COP 21
Le bilan, les engagements climatiques et les politiques énergétiques
Ce débat met en lumière les politiques climatiques et énergétiques de l’Inde et de la Chine. Les deux géants asiatiques font face aux mêmes défis : Pékin et New Delhi se sont engagés dans l’effort mondial de lutte contre les dérèglements du climat ; en parallèle, ils doivent gérer les mêmes contraintes et contradictions sur leur politique énergétique : leur mix énergétique repose sur le charbon, principal source d’émission des gaz à effets de serre.
COP-21 : La controverse économique
Depuis un siècle, les sociétés qui affichent les plus hauts niveaux de vie et indicateurs de développement sont, en général, celles qui utilisent le plus ces énergies, et donc émettent le plus de CO2 et de méthane.
Climat : pourquoi le charbon est pointé du doigt
Son usage est très développé. Il s'est accru avec les années puisqu'en 2000, il ne représentait que 23% de la demande mondiale», souligne Nathalie Desbrosses, responsable de l'analyse des marchés chez Enerdata. Le charbon est plébiscité pour son prix bas. «Utiliser du gaz pour produire de l'électricité coûte trois fois plus cher que le charbon», explique-t-elle.
Le charbon, premier responsable du changement climatique
Comme l’explique au Figaro Nathalie Desbrosses, responsable de l’analyse des marchés chez Enerdata, “son usage est très développé. Il s’est accru avec les années puisqu’en 2000, il ne représentait que 23% de la demande mondiale”. La Chine représente à elle seule plus de 40% de cette demande et le charbon représentait toujours 73% de son mix-énergétique en 2014 malgré une politique d’investissements massifs dans les énergies renouvelables. Les autres consommateurs importants sont l’Inde, les États-Unis ou l’Allemagne.
Energie : le chauffage, central en France
Enerdata met en évidence le retard pris par la France en termes de performance énergétique de ses bâtiments. Des seize pays européens comparés, c’est là qu’on consomme le plus d’énergie par mètre carré pour se chauffer.
L’énergie dans le monde d’ici à 2040
Le cabinet de conseil et de statistiques Enerdata a présenté mi-mars ses scénarios énergétiques à l’horizon 2040. Il y regroupe des projections sur la demande d’énergie, l’approvisionnement et les prix ou encore les émissions de gaz à effet de serre. Quels en sont les chiffres clés à retenir ? Les conclusions sont-elles différentes de celles du BP Energy Outlook publié un mois plus tôt ?
Le monde au charbon ?
Un accord a minima a été adopté, samedi 23 novembre 2013, à Varsovie au terme de la conférence sur le climat. Les signataires s'engagent à préparer des "contributions" pour la conférence de Paris prévue en 2015 qui fixera enfin (peut-être...) la réduction des gaz à effet de serre ... Ce sont de nouveaux marchés, dont l'exploitation se fait forcément en collaboration avec des compagnies étrangères", commente Nathalie Desbrosses, responsable de l'analyse des marchés à Enerdata.
Les experts du Global Carbon Project viennent de publier l’édition 2013 de leur rapport. Sans grande surprise, les émissions mondiales de CO2 liées aux carburants fossiles et à la filière ciment ont à nouveau augmenté en 2012 (+2,2 %), principalement à la suite du retour en force du charbon dans certaines contrées. Les chiffres affichés dans la cartographie des quantités de CO2 émises par différents pays à la suite de la combustion de carburants fossiles sont d'Enerdata.
Les BRICS consomment autant d'électricité que les pays du G7
D'après une étude publiée par le cabinet d'études grenoblois Enerdata (voir le « bilan énergétique mondial 2012 »), les BRICS, (à savoir les cinq grands pays émergents : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) consomment désormais autant d'électricité que ceux du G7 (États-Unis, Japon Allemagne, France, Royaume-Uni, Canada, Italie).
Energie : la Chine ralentit
Un vrai tournant : alors que la Chine voyait sa consommation d'énergie croître de 7 % par an depuis 2000 (et même 8 % en 2010), elle a fortement décéléré en 2012, avec un taux de croissance ramené à 4 %. C'est l'un des principaux enseignements du Bilan énergétique mondial 2012 publié mercredi 29 mai par Enerdata.
La consommation mondiale d'énergie en 7 chiffres clés
Elle a progressé moins que la croissance économique en 2012 mais les rejets de CO2 sont en hausse, selon Enerdata. Gaz de schiste, charbon, Chine, Europe, sept chiffres clés pour comprendre.
La croissance de la demande énergétique et des émissions de CO2 des pays du G20 a été, selon Enerdata, de respectivement 2 % et 3 % en 2011. Ces résultats, nettement inférieurs à ceux de 2010, ont tout de même été littéralement dopés par la Chine et l’Inde.
Energie et CO2 en 2011 : croissance chinoise
Le cabinet Enerdata publie les premières synthèses sur l'évolution de l'énergie et des émissions de gaz carbonique en 2011. Elles montrent que si la crise économique et les prix de l'énergie fossile contribuent à une contraction de la consommation des pays riches, les croissances chinoise et indienne continuent de hisser vers le haut les chiffres planétaires.
Demande énergétique mondiale en 2011
Faible croissance de la demande énergétique mondiale en 2011, d'après les données d'Enerdata. La croissance de la consommation d'énergie du G20 s'est réduite à 2 % en 2011.
Scénario AMS Objectif, commandé par la Direction générale de l’énergie et du climat du ministère de l’industrie au bureau d’études Enerdata pour ses négociations à Bruxelles, en adoptant les coûts recensés par la Cour des comptes dans son rapport du 31 janvier dernier.
Remise du rapport "Energies 2050"
L’équipe Global Energy Forecasting d’Enerdata a été mandatée par le gouvernement français pour réaliser 4 scénarios couvrant toutes les énergies dans le cadre du « Rapport énergies 2050 ».
Enerdata, le cabinet d'études et de conseil indépendant spécialisé dans le secteur de l'énergie a réalisé une petite étude sur le Charbon intitulé "Compétition de la Chine et de l'Inde autour des ressources en charbon".
La bataille du Charbon
Du cabinet Enerdata de Grenoble, un autre avertissement vient d’être donné sur l’autre grand combustible fossile, le charbon. Une alerte fondée sur l’arrivée massive et violente de deux nouveaux importateurs de charbon sur le marché mondial : la Chine et l’Inde.
Le réchauffement à un degré alarmant
Le charbon est en tête des émissions (44%), selon le bureau d’études Enerdata. Il sert surtout à générer de l’électricité (+ 7% en 2010). Le pétrole (36%) est en progression de plus de 4% par rapport à 2009. Le gaz naturel (20%) grimpe à toute allure (+ 8% en 2010).
Comment relancer la chasse au gaspi ?
Chez nous, « le transport de fret se fait de plus en plus par la route », rappelle par exemple Bruno Lapillonne chez Enerdata. Ce dernier nuance toutefois le retard français, citant l'étude européenne Odyssee à laquelle il participe et selon laquelle notre pays est dans la moyenne européenne.
Nouveau record pour les émissions de CO2 en 2010
La première place est occupée - avec 44% des émissions - par le charbon dont l’usage a augmenté de 6%, annonçait le cabinet Enerdata le 6 mai dernier. Un charbon qui, pour l’essentiel, sert à générer de l’électricité (plus 7% en 2010).
La consommation énergétique mondiale à la hausse
Enerdata, la société d’information spécialisée dans l’industrie énergétique mondiale et le marché du carbone a analysé les tendances de la demande énergétique, à partir de ses données 2010.
C'est le résultat principal de l'analyse des données mondiales de l'an dernier, publiée ce matin par la société Enerdata. Il confirme une prévision faite par des scientifiques dès novembre 2010.
Pour Bertrand Château, directeur d'Enerdata, "il est nécessaire d'agir simultanément sur l'ensemble des facteurs et les outils existant le permettent." Il s'agit, par exemple, de bien répartir les services publics, les domiciles, les espaces dédiés aux activités économiques et les lieux de loisirs.
L’Inde et la Chine ne connaissent pas la crise
La mondialisation, une réalité ? Sauf, peut-être, pour le secteur de l’énergie.[..] Dans son rapport, le consultant met en exergue la dissymétrie entre la situation des pays les plus industrialisés et celle des grands émergents.
Energie, En 2009, la Chine passe en tête
Enerdata vient de publier les premières analyses globales de l'énergie en 2009. Chute des consommations d'énergie dans les pays industrialisés, hausse continue dans les pays émergents.
La réduction des émissions de GES ne pénaliserait pas nécessairement la demande en matériaux de base
Si une contrainte carbone augmente le prix des matériaux de base (ciment, bois, verre, acier…) dont la production est émettrice de CO2, les stratégies de réduction des émissions pourraient malgré tout être favorables à ces industries. Explications.
Annonce d’une baisse du prix du pétrole
Annonce d’une baisse du prix du pétrole. Une opportunité pour la fiscalité environnementale.
L'Allemagne, la Russie et l'énergie
Article "L'Allemagne, la Russie et l'énergie" avec les données d'Enerdata (Fondation Robert Schuman)